Un bilan sans gloire
Malgré nos avertissements publics, répétés en séance du conseil municipal ainsi
que dans la presse, M. Le Maire s’est entêté à dépenser et à emprunter sans
compter. Il a tristement réussi à endetter notre ville à hauteur de 20 000
euros par jour (entre décembre 2009 et janvier 2012). En fin d’année 2013,
l’encours de la dette dépassera 19,4M€ soit une augmentation de 8M€ en 6 ans de
gestion municipale ! Nous vous invitons à consulter le site officiel du
Ministère de l’économie (collectivités-locales.gouv.fr) pour valider nos
propos.
M. Le Maire est fier d’avoir tenu un engagement électoral, le parc paysager, mais pour quel
résultat et à quel prix ? Parti
d’une enveloppe initiale de 3M€ ce parc culmine à 6,48M€ soit :
- un parc paysager
= 3 salles de sport
- un parc paysager
= 6 bases nautiques
- un parc paysager
= une rénovation du front de mer et du centre-ville.
De plus cet investissement très peu subventionné (seulement
300 000€) coûte aux pornichetins une somme avoisinant des 5,2M€.
La transmission de la gestion et la vente de notre résidence
de La Côte d’Amour à des organismes privés ont été freinées par le retrait des
filiales du Crédit Mutuel jugeant le projet contraire à l’image de leurs
activités. Vous pouvez lire ou relire sur notre site cité ci-dessous notre
tract dénonçant une telle manœuvre. L’arrêt des démarches entamées a sauvé
momentanément la résidence, mais restons vigilants, car, contre vents et
marées, M. Le Maire semble poursuivre sa quête de partenaires privés.
4 Une démocratie
bousculée :
Plus qu’une démocratie participative, nous subissons une
démocratie sélective (les présumés opposants sont écartés des conseils de
quartiers). Toute place à participer au sein d’une commission nous est refusée
dès lors qu’elle n’est pas légalement obligatoire. Même certains élus
majoritaires se sentent exclus : en 5 ans, 5 ont jeté l’éponge désabusés
par si peu de considération.
A deux reprises, les séances du conseil municipal ont dû
être reportées, soit pour non-respect du délai légal de convocation (5 jours
francs), soit pour insuffisance de documents.
Des informations importantes nous sont données parfois le jour même du conseil et non, comme
la loi l’oblige (sauf cas d’urgence) avec l’envoi de l’ordre du jour. Tout ceci
dénote la considération que la majorité nous porte, majorité qui ose parler de
démocratie participative, un comble !
Un dernier exemple : le plan opérationnel de l’agenda
21 a été annoncé dans le magazine de janvier 2013 et adopté en conseil
mnicipal le 4 avril 2013, cherchez l’erreur !
La liste d’exemples est hélas longue, trop longue, en
refusant toute complaisance, nous sommes fiers d’assumer la place d’élus
responsables et lucides.
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